mercredi 8 février 2012

Jeudi 9 Février 2012

"Matthieu  V"

"Hâte-toi de te mettre d'accord avec ton adversaire pendant que tu es en chemin avec lui, de peur qu'il ne te livre au juge, celui-ci au géolier et que tu ne sois jeté en prison.
       Tu n'en sortiras je te le dis, que tu n'ais payé jusqu'à la dernière obole "

              Il n'y a aucune vertu ni aucun mérite à se complaire dans le martyre...



6 commentaires:

  1. Et ben dis donc, ça chemine sec ici ces temps-ci... pour se réchauffer peut-être...

    "La route est meilleure que l'auberge" est une de mes devises...
    même si les escales, prolongées, en auberges chaleureuses et confortables sont très appréciées aussi, au propre , avec ou sans taches de sauces ou de vin sur les nappes,
    comme au figuré...
    m'aime si j'aime des aubergistes... ou ex-aube qui, l'eau ayant coulé sous les ponts, ont rejoint d'autres berges...

    Tout à fait... mieux vaut s'occuper de ses dossiers soi-même, agir, plutôt que subir ou que passer son tour et refiler le bébé à la descendance...

    Dans le geôlier et la prison de Matthieu, on peut lire la façon dont les problèmes s'enkystent, se cristallisent, nous ligotent et nous bouchent les horizons quand on ne les gère pas à temps.
    Parce que l'adversaire on peut le voir dans le miroir avec sa petite barbe bleue...
    ( Cf. Clarissa Pinkola Estes et ses louves... )

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    1. T'm des aubergistes Mariane?

      Le plus important c'est d'être en chemin avec quelqu'un ...et même si c'est un adversaire, il y a toujours un autre chemin à prendre à deux ou seul ...et faire de nouvelles rencontres ...

      Le plus important c'est d'être en paix avec soi-même

      J'aime les loups aussi

      Bises et belle soirée à Michèle

      pas à Mariane, elle aime pas ça

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  2. "Il n'y a aucune vertu ni aucun mérite à se complaire dans le martyre..."
    J'aime beaucoup la photo, et cette phrase.
    Certains au prétexte de chagrin d'amour confondent peine et martyre.

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  3. Je viens justement de lire un livre très chouette : Le désir de tourner la page, de Lytta Basset.

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  4. Chère Michèle,

    Je m'empresse donc d'accorder mes cordes au son du silence pour qu'il me jette dans une joie sans voix.

    Douce soirée, avec toute ma tendre sympathie, Jack le poétiste.

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